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    CHRISTIAN

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    Landru et fantaisies

    Metteur en scène : Jean Macqueron

     

    Artistes : Christophe Garcia-Nathalie Hugon-Jean-Luc Revol - Françoise Vallon

     

    Ils sont deux tueurs face à face : Landru, le meurtrier élégant, vaniteux et sans remords, et Deibler, le dernier grand bourreau français. Leur face à face n’a jamais eu lieu, mais ils se sont bien rencontrés, puisque Anatole Deibler a guillotiné Henri-Désiré Landru, le 25 février 1922.

     

    Anatole Deibler et Henri-Désiré Landru. Ils sont deux tueurs face à face : Landru, le meurtrier élégant, vaniteux et sans remords, et Deibler, le dernier grand bourreau français. Deux hommes que tout sépare. L’assassin privé, adoré des femmes, le Don Juan, et l’assassin public et monogame, qui a tranché près quatre cents cous pendant sa longue carrière, l’incarnation de la justice nationale, la statue du commandeur. Et de quoi parlent-ils ? De leurs métiers respectifs. Et des femmes bien sûr ! Et elles défilent, ces femmes, Anna Collomb, avatar des victimes de Landru, et Fernande Segret, sa fiancée tendrement aimée, plongeant l’histoire dans un boulevard cruel et échevelé. Anatole Deibler et Henri-Désiré Landru. Deux mystères. Leur face à face n’a jamais eu lieu, mais ils se sont bien rencontrés, puisque Anatole Deibler a guillotiné Henri-Désiré Landru, le 25 février 1922.

     

    Les dialogues drôles et ciselés sont ponctués par des scènes imaginaires de la vie de Landru. Une pièce qui mélange habilement plusieurs genres, servie par des acteurs convaincants et une mise en scène ingénieuse. Une « fantaisie » réussie.

    Le Parisien – juin 2003

     

    La pièce réserve des surprises à tout va, dont un tango mémorable entre les deux monstres sur la bande originale de Mulholland Drive. Le ton est juste, enlevé, les dialogues percutants, la mise en scène suggestive.

    La Tribune – juin 2003 

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